De que duvida o paranoico?
Bernard Vandermersch O paranoico é aquele cujo delírio não deixa [...]
Bernard Vandermersch O paranoico é aquele cujo delírio não deixa [...]
Para introduzir o cross cap Este estranho objeto foi apresentado [...]
L’étymologie du mot corps nous renvoie au corps in-animé (corpus) par rapport à l’âme (anima). Le mot latin lui-même pourrait être un élargissement d’un thème KRP attesté en indo-iranien signifiant forme, beauté. Le corps, le cadavre et la beauté qui constituerait le dernier rempart devant la mort (Lacan). Dans la cure analytique, le corps est là. Pas de cure in effigie. Pas de cure par correspondance. Pourquoi la nécessité de cette présence ? Mais d’abord qu’est-ce qu’un corps humain ?
Ce titre m’est venu à partir de la méconnaissance assez générale d’un fait pourtant banal et que révèle l’expression non moins banale : « Il va falloir que je, que tu, qu’il coupe le cordon ombilical ». Celui qui parle ne doute pas un instant qu’il s’agit, ce faisant de prendre ses distances avec sa mère. Or le cordon ombilical ne relie pas l’enfant – directement - à sa mère mais au placenta, lequel est une partie différenciée des caduques, « celles qui doivent ou peuvent tomber », qui entourent le fœtus et sont une partie de lui-même.